Synopsis

Corps étrangers est un fleuve poétique. Une suite d’images en mouvance qui saoulent l’âme et enivrent les sens. L’histoire est multiple. Elle est grâce et méandres. Une histoire en 9 tableaux comme une marée qui va et vient pour tracer des lignes de vie sur un sol vierge. Corps étrangers devient cette valse avec une belle inconnue, à travers les parfums étourdissants d’un paysage de violence et de sensualité.

Théâtre de Quat’Sous
Du 30 août au 16 septembre 2006
Cuatro Milpas, Mexique
2005

Dans les médias

Un singulier voyage dans les imaginaires croisés d’artistes québécois et mexicains […] une pièce ludique, onirique, poétique.
Ici Radio-Canada

(…) L’ambiguïté laisse beaucoup de liberté à l’imagination des spectateurs. Ces neuf façons de mourir illustrent les peurs que chacun d’entre nous nourrit, depuis la peur de la différence, du sexe, de la responsabilité, à la perte d’un être cher. La finale de la pièce qui rassemble le tout – malgré son caractère pseudo- métaphysique- est en quelque sorte une lueur d’espoir pour celui qui a peur ou celui qui souffre.
La Jornada de enmedio, Mexico

Dans la mosaïque théâtrale nationale, cette collaboration de Janet Pinela et de son groupe en coproduction avec le Québec, est stimulante dans ses avancées à la conquête du langage théâtral et l’efficacité avec laquelle différents atmosphères sont évoqués. Cette réussite offre aux spectateurs une expérience réjouissante.
Excelsior, Mexico

Le résultat de cette expérimentation scénique, un point tournant pour le théâtre national, est une œuvre qui en contient plusieurs. En faisant un parrallèle avec la littérature, on pourrait dire que Cuerpos Extraños est au théâtre ce que Rayuela de Julio Cortazar est à la littérature..
El universal.com.mx, Mexico

La pièce de Pascal Brullemans dirigée par Eric Jean a piqué la bonne conscience d’un certain conservatisme Colimois. La sensualité et la violence mettaient pour moi en évidence l’esprit de notre époque et ce serait une erreur de détourner les yeux.
Ecos de la costa, Colima

Éric Jean injecte une bonne dose de ludisme à ses tableaux et compose des images charnelles.
Marie Labrecque, Le Devoir

Crédits

Texte Pascal Brullemans
à partir d’improvisations dirigées
par Eric Jean, avec les comédiens
Traduction Anne Catherine Lebeau 
Mise en scène Éric Jean
Avec Hector Castaneda Arceo, Ernesto Cortés, Ariadna Galvan, Anne-Catherine Lebeau,
Nelly Magana, Nadia Molina, Janet Pinela,
Christian Rangel
Concepteurs Anne-Catherine Lebeau, Dominique Mercier, Pierre-Etienne Locas, Martin Sirois,
Eric Jean, Suzanne Trépanier